D’INGMAR BERGMAN
L’ARTISTE DEVORE PAR LA SOCIETE
« Les anciens l’appelaient l’heure du loup. Celle où meurent la plupart des gens, où naissent la plupart des enfants. A présent, c’est celle de nos cauchemars. »
L’ARTISTE DEVORE PAR LA SOCIETE
« Les anciens l’appelaient l’heure du loup. Celle où meurent la plupart des gens, où naissent la plupart des enfants. A présent, c’est celle de nos cauchemars. »
L’HOMME SEUL FACE A L’HOMME
« Where’s the doctor ? Must I die all alone ? »
L’HOMME FACE AU SILENCE DE DIEU
« Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? »
LA FOLIE CONTRE LE SILENCE
« J’ai eu peur. La porte s’ouvrit. Mais le dieu qui apparut était une araignée. »
« Jamais je n’ai été si proche de la vie. Mais la vie m’a glissé entre les doigts. » (Cecilia)
“I understand, all right. The hopeless dream of being – not seeming, but being. (…) The gulf between what you are with others and what you are alone. The vertigo and the constant hunger to be exposed, to be seen through, perhaps even wiped out. Every inflection and every gesture a lie, every smile a grimace. Suicide? No, too vulgar. But you can refuse to move, refuse to talk, so that you don’t have to lie. You can shut yourself in. Then you needn’t play any parts or make wrong gestures.” (The doctor)